C’est un fait scientifique : mettre les enfants en contact avec la nature est bon pour la santé. Eh oui, la verdure diminue l’anxiété et fait disparaître certaines angoisses. Des chercheurs chinois ont sorti une étude particulièrement intéressante à ce sujet.
Le contact avec la nature
Nous entendons sans arrêt le fameux « bouger plus ». Car oui, c’est extrêmement important pour la bonne santé des enfants et des adultes. Mais il existe également autre chose qui serait extrêmement bénéfique pour la santé notamment psychologique. En effet, il faudrait mettre les enfants le plus possible au contact de la nature.
Il s’agit d’une recommandation très sérieuse émise par des chercheurs de l’université de Hong Kong. Ils ont expliqué que les espaces verts aident les enfants à se sentir mieux dans leur corps mais surtout dans leur tête. Et d’ailleurs, on retrouve ces observations dans une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) datant de 2010.

De mauvaises habitudes
Malheureusement aujourd’hui, les enfants sont de plus en plus élevés en ville ou dans des espaces goudronnés. Ils ne voient pas assez les espaces verts. Or, les promenades en pleine nature ont des effets bénéfiques. Il faut savoir qu’un mode de vie trop urbain peut être à l’origine de stress voire de dépression, y compris chez les plus petits. La nature a l’effet inverse et préserve la santé mentale des enfants.
Aussi, il faudrait garantir aux enfants des accès à des espaces verts régulièrement. Ces derniers existent pourtant, y compris en ville. Mes les chercheurs ont remarqué que les parents n’utilisent que rarement ces zones : « Nous avons remarqué que les parents sont susceptibles d’éviter la nature. Ils la perçoivent comme sale et dangereuse, et leurs enfants adoptent malheureusement ces attitudes. De plus, les espaces verts sont souvent peu accueillants avec des pancartes telles que pelouse interdite. »
Pourtant, une meilleure connexion avec la nature permettrait de diminuer les comportements hyperactifs chez certains enfants et améliorerait le comportement prosocial. À méditer…
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