Le suicide ne fait pas de discrimination. Les personnes de tous les sexes, de tous les âges et de toutes les ethnies peuvent être à risque. Malheureusement, ces dernières années, le problème du suicide est devenu particulièrement répandu dans les écoles. Le suicide est la deuxième cause de décès chez les adolescents.
Et même si les pensées suicidaires et les comportements sont généralement observés chez les adolescents plus âgés, une étude récente a révélé que le nombre d’enfants et adolescents admis aux hôpitaux pour enfants a plus que doublé au cours de la dernière décennie.
Cadre comportemental fondamental et apprentissage socio-affectif
Il est important d’établir une base d’interventions et de soutiens comportementaux positifs à l’échelle d’une communauté. Au sein de l’école, il faudrait aussi établir des attentes comportementales, identifier les élèves ayant besoin d’un soutien supplémentaire et de proposer des interventions ciblées.
Voici une vidéo parlant du suicide chez les jeunes :
Le mieux serait d’introduire un programme scolaire basé sur des preuves qui fournira un vocabulaire commun avec des solides composants. Il est tout à fait possible d’élaborer un plan d’action basé sur la recherche, personnalisable en fonction de chaque enfant et facile à mettre en œuvre par les enseignants.
Engagement de la communauté
Il est indispensable d’établir des relations profondes avec les membres de la communauté, des parents aux services de police. L’idéal serait d’encourager l’utilisation d’une terminologie commune, de collaborer aux efforts de collecte de fonds et de communiquer ce que différents membres peuvent faire pour se soutenir mutuellement.
Tandis que les taux de suicide chez les jeunes continuent de croître, les autorités cherchent tous les moyens afin de faire baisser les chiffres. Mais cela vient avec la reconnaissance qu’il n’y a pas de ligne d’arrivée en termes de santé mentale. La communauté doit continuer de faire le travail nécessaire pour pérenniser et consolider les succès acquis jusqu’à présent.