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Elle frôle de peu la mort à cause d’une infection causée par son stérilet

Pour de raisons diverses et variées, une femme peut être appelée à utiliser activement ou passivement une méthode de contraception. Différentes méthodes existent, dont notamment le patch contraceptif, le préservatif, le coït interrompu ou le plus tendance en ce moment, le stérilet.

Malheureusement, alors qu’on pensait le stérilet totalement exempt de tout reproche, l’histoire que nous nous apprêtons à vous raconter vous fera changer d’avis. Une jeune femme a en effet frôlé la mort à cause de son stérilet. Celui-ci s’est infecté, causant un choc qui aurait pu l’emporter.

Un stérilet, une infection…

Seulement âgée de 25 ans,  Jessica Cowgill est une jeune Britannique qui a failli ne pas se remettre d’une infection causée par son stérilet. En effet âgée d’une vingtaine d’années, celle-ci a décidé de se faire implanter un dispositif intra-utérin en cuivre.

Un dispositif intra-utérin ou stérilet – Crédits photo : Wikimedia Commons

Elle choisi cette méthode de contraception car plus fiable et sans grands risques d’après elle. Et sur recommandation de son médecin traitant. Seulement, la suite aura été un long calvaire qui débuta au bout de quelques mois par de vives douleurs au bas-ventre. Celles-ci se sont rapidement compliquées peu de temps après de douleurs menstruelles.

Après moult consultations auprès de médecins, aucun diagnostic de certitude n’a été posé. Jessica a dû se résoudre à vivre désormais avec ce qu’elle appelait des règles particulièrement douloureuses, comme l’expliquent nos confrères de Genesis Medicaid.

Un dispositif intra-utérin ou stérilet – Crédits photo : Wikimedia Commons

Le 11 février dernier, Jessica fut prise de très fortes douleurs. Limite insoutenables, comme elle les a décrites. Elle se précipita aux urgences du Royal Blackburn Hospital. Une échographie réalisée ce jour permit de constater que son stérilet s’était enfoncé dans la muqueuse de son utérus. Il avait d’ailleurs déjà causé une infection généralisée qui fut confirmée par des bilans biologiques.

…Et de multiples opérations

La jeune Britannique fut immédiatement emmenée au bloc opératoire afin que des chirurgiens y retirent les tissus endommagés. Des tissus totalement nécrosés, ou plus simplement, pourris.

Représentation d’un utérus humain – Crédits photo : Flickr

Pas de bol, la première intervention n’aura pas eu le succès escompté. Suite à la dernière intervention chirurgicale, un ovaire lui fut retiré. De même que sa trompe de Fallope gauche et un bout d’utérus.

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À propos de l'auteur

Kevin

Rédacteur chez allofamille spécialisé sur les sujets liés à la famille.

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