AlloFamille évolue et innove enfin en lançant une rubrique inédite baptisée « Parlons-en ». En effet, après avoir remarqué avec insistance certaines de nos lectrices et même des lecteurs poser mille et une questions en commentaires et inhérentes à un sujet en particulier, nous avons décidé de vous entretenir une fois par jour, par semaine, par mois sur ce dernier afin d’améliorer votre compréhension du corps humain, de la conception, la grossesse, la famille, les enfants. Dans cette édition de Parlons-en, nous évoquerons la scarlatine une maladie mortelle qui touche les enfants.
Du coup, comment reconnaître la scarlatine, quels en sont les facteurs de risques et complications, mais surtout comment se traite-t-elle ?
La scarlatine c’est quoi au fait ?
De par sont étymologie, la scarlatine est définie comme étant la fièvre écarlate. Elle se définit également comme une maladie infectieuse causée par un germe qui porte le nom de streptocoque pyogène. Elle peut toucher la quasi-totalité des humains, mais a une préférence pour les enfants. Pour des raisons qui demeurent inconnues à ce jour.
Surtout prédominante en hiver, elle concerne surtout les enfants de 5 à 10 ans avec une période d’incubation de 20 jours en moyenne. Très contagieuse, un simple contact suffit à choper le germe. Prudence donc, et surtout faites bien attention à l’hygiène de vos mains.
Et sinon comment reconnaître la scarlatine ?
Tout comme la plupart des maladies infectieuse, le maître symptôme de la scarlatine est la fièvre. Celle-ci peut cependant être modérée, et ne représenter qu’un fébricule (température comprise entre 37,6 et 38,5 degrés). S’accompagnent à cette fièvre une angine (inflammation de la gorge). Ces symptômes s’accompagnent de douleurs abdominales et de vomissements.
Cependant la principale caractéristique qui signe la présence d’une scarlatine est la survenue d’une irruption cutanée. Elle apparaît avant tout dans le cou puis se généralise au bout de 2 à 3 jours après l’installation de la fièvre.