AlloFamille évolue et innove enfin en lançant une rubrique inédite baptisée « Parlons-en ». En effet, après avoir remarqué avec insistance certaines de nos lectrices et même des lecteurs poser mille et une questions en commentaires et inhérentes à un sujet en particulier, nous avons décidé de vous entretenir une fois par jour, par semaine, par mois sur ce dernier afin d’améliorer votre compréhension du corps humain, de la conception, la grossesse, la famille, les enfants. Dans cette seconde partie consacrée à la toxoplasmose, nous nous intéresserons aux symptômes et à son traitement. Sans oublier les risques pour le bébé.
Quels symptômes pour la toxoplasmose ?
Comme évoqué dans la première partie de ce billet, la toxoplasmose à des symptômes non spécifiques. Il peut donc s’agir de mêmes symptômes qu’une grippe. Notamment une poussée de fièvre, des maux de gorge ou même des douleurs musculaires. Bien qu’elle passe inaperçue chez la plupart des individus, la toxoplasmose peut avoir des conséquences et complications lourdes chez les personnes à l’immunité défaillante.
C’est le cas notamment des maladies porteurs de l’infection au VIH. Ou les patients déjà au stade SIDA.
Quels risques pour l’enfant ?
Trois risques sont à ce jour connus chez l’enfant d’une mère atteinte d’une toxoplasmose. Notamment le risque de contracter lui-même la maladie. Le risque de développer au cours de la gestation des malformations diverses. Ou encore le risque de mort fœtale in-utéro.
Quel traitement ?
Le Toxoplasma Gondii est un germe de la famille des parasites. Un traitement antifongique est donc indiqué dans sa prise en charge. Cependant, seul le médecin a le droit de vous prescrire la molécule adéquate pour soigner la maladie. Toute automédication dans ce contexte pouvant être dangereuse aussi bien pour la maman comme pour l’enfant. Le principal moyen de l’éviter est d’avoir une bonne hygiène à la maison. Surtout lorsqu’on possède un chat, qui est l’hôte de contamination et le réservoir du parasite.