Donner naissance à un enfant est sans doute la plus belle chose qu’il puisse arriver de vivre à une femme tout au long de sa vie. Cependant, la naissance est davantage belle lorsqu’une touche historique ou une connotation particulière l’entoure. Cela peut notamment être le cas en fonction du mois de naissance de votre enfant… à la période de naissance (début, milieu ou fin d’année)… Dans le cas du mois d’août voici les 6 bonnes et mauvaises raisons de donner naissance à votre bout de choux.
Les 3 bonnes raisons
La première bonne raison d’accoucher en août est corrélée au 25 août 1451.
Si votre enfant naît ce 25 août vous n’autre choix que de le prénommer Christophe, en hommage à l’illustre explorateur Italien qui découvrit tant de nouvelles terres à l’époque. Ce dernier naquit le 23 août 1451.
La seconde bonne raisons serait le comble de la mignonnerie, si votre enfant naît le 9 août. On célèbre en effet ce jour la Saint Amour !
La troisième d’ailleurs meilleure bonne raison est toute simple : vos amies et collègues vont vous envier à fond. Suite à votre accouchement en août vous jouirez d’un congé maternité tandis qu’elles retourneront pour la majeure partie d’entre-elles au travail dès septembre.
Les 3 mauvaises raisons
Si vous avez accouché le 1er août, votre enfant sera toute sa vie associé à la célébration d’une fête assez peu reluisante, celle de la frite belge. C’est en effet ce même jour que nos voisins les Belges célèbrent leur emblême nationale.
Bien que votre enfant soit encore loin de pouvoir ingurgiter de la bière, si vous avez accouché le 4 août la naissance de celui-ci sera associée dorénavant à la fête de la bière. Ainsi dès l’an prochain vos amis(es) et vous-même aurez doublement raison de célébrer le 4 août.
La troisième et dernière bonne raison d’accoucher en août est sûrement la plus loufoque mais tout aussi risible du monde. En effet votre enfant pourra créer le buzz en se servant de cette tirade issue du titre à succès du chanteur Belge Stromaë : « Où t’es, papaoutai ? » qui pourra ainsi devenir « Aoûtette, maman aoûtette ».
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